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Marzelline, Pamina, Elisabeth, Eva, Sieglinde, Chrysothemis, l’Impératrice (au Théâtre du Capitole en 2006), Daphné (au Staatsoper de Vienne, dans une mise en scène de Nicolas Joel), Salomé, Ariane (récemment à Paris dans la mise en scène de Laurent Pelly), la Maréchale, Agathe, la comtesse Almaviva (au Théâtre du Capitole en 2008) : Mozart, Beethoven, Wagner, Strauss… et Weber. Ricarda Merbeth a fait de l’opéra allemand sa spécialité. Devant le public du Capitole, elle interprète le rôle de Rezia dans Oberon pour la première fois.
Vous êtes une interprète reconnue des grands rôles du répertoire lyrique allemand, une véritable « diva » straussienne et wagnérienne ?
Mon parcours m’a amenée à me spécialiser dans les rôles féminins principaux des opéras de Richard Wagner et Richard Strauss, mais j’ai aussi chanté Mozart ces dernières années, ce que mon registre de voix m’a toujours permis de très bien réaliser. Strauss joue un rôle tout à fait central dans ma carrière de chanteuse. Il a écrit des parties très importantes pour ma tessiture, lui confiant des rôles-titres. Je récuse cependant complètement le qualificatif de diva ! Car j’essaie surtout d’incarner au mieux les parties solistes vocalement, musicalement, et du point de vue de la psychologie humaine.
Êtes-vous familière de l’œuvre de Carl-Maria von Weber ?
Je suis heureuse d’explorer les multiples aspects du rôle de Rezia sur la scène du Théâtre du Capitole auprès de Rani Calderon et Daniele Abbado. J’aime cette figure de conte de fées, pleine d’assurance, et en même temps de caractère très noble. Je connais bien la musique de Weber pour avoir souvent chanté Agathe : c’est une musique très belle où l’on retrouve la transparence et la légèreté de Mozart, ce qui, je l’espère, plaira au public dOberon. Il existe sans doute une écriture vocale propre à Weber comme il existe une vocalité propre à Strauss et à Wagner. Cependant, il ne faudrait pas uniquement voir les différences. Weber est pour moi l’un des compositeurs les plus authentiquement allemands, au même titre que Wagner et Strauss, et ce même s’il me semble plus proche de Mozart que de ces deux autres compositeurs.
Propos recueillis par Sofiane Boussahel
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